Era già tanto che Ulisse errava per lidi lontani, a causa dell’ostilità di Poseidone, dio del mare. Tentava di ritornare in patria, nella sua isola, ma si frapponevano ostacoli sempre più insormontabili. Anche il mare calmo e azzurro poteva nascondere insidie per il nostro eroe, come l’isola delle Sirene,(Capri) affascinanti creature metà donne e metà pesce che, con il loro canto, attiravano i naviganti verso una morte certa. Allora Ulisse, consapevole del pericolo, tappate con la cera le orecchie dei compagni che erano ai remi, si fece legare all’albero della sua nave per non obbedire al dolce, fatale richiamo. Così il prudente eroe potette resistere all’invitante, ma ingannevole melodia e le Sirene, umiliate e disperate, morirono gettandosi in mare.Una di esse, Partenope, trasportata dalle onde, trovò la sua ultima dimora sulle rive di una terra bellissima, baciata dal sole e lambita da un mare cristallino. Qui,dove si era adagiata Partenope, cominciò a sorgere una città, che come il canto della sirena, attraeva e catturava i cuori.

Come si sa, dalla storia arriva il mito, e dal mito si risale alla storia,Napoli ha origini greche, un gruppo di abitanti dell’isola di Rodi, sbarcarono prima a Cuma, poi tra il IX e l’VIII sec.a.C. sull’isolotto di Megaride, dove fu poi costruito il Castel dell’ovo, e poi stabilirono il cuore della città dove è ora l’attuale Pizzofalcone che ne costituiva l’acropoli. Intorno al 530 Partenope decadde ed alcuni decenni dopo sempre i Cumani decisero di costruire una nuova città un pò più a est : Neapolis cioè città nuova per distinguerla dalla Palepolis (città vecchia ) di Pizzofalcone.

l luogo fu scelto in base alla praticità per il commercio, prossimo al mare e con approdi sicuri.
La città fu cinta da possenti mura e la struttura urbanistica seguì lo schema delle città greche con un’acropoli elabora,dove erano i templi e gli edifici pubblici. Le strade si intersecavano,Quelle più larghe di sei metri, ad andamento longitudinale, furono, poi dette dai Romani decumani e sono ora le attuali Via Tribunali,Via San Biagio dei librai, Via Anticaglia.Vi erano quelle più strette, di tre metri, in senso traversale, chiamate cardini dai Romani, come l’odierna S.Gregorio Armeno. La città, tra i V e il IV se. a.C: venne a contatto con i Sanniti, con i quali si stabilirono rapporti di vicinato e di affari che, col passare del tempo, si trasformarono in un attivo scambio etnico e culturale. Verso la fine del IV secolo, Roma strinse con Neapolis un patto che sottoponeva al controllo l’economia e il commercio della città, ma ne riconosceva l’autonomia nell’emettere moneta e lasciava al popolo le sue tradizioni, la sua lingua, la greca, i suoi costumi ed i suoi culti Neapolis divenne dunque città federata di Roma e rimase fedele a Roma nelle guerre contro Annibale.
Nel periodo imperiale decadde come porto, a vantaggio di Puteoli, ma venne sempre preferita come luogo di cultura e città gaudente.
D’altronde Napoli era ricca di Templi,,edifici pubblici e privati di cospicua bellezza e vantava enormi cisterne che assicuravano acqua alla sua numerosa e cosmopolita popolazione. Tra i Poeti fu la prediletta di Virgilio che vi fu sepolto (Mantua me genuit nunc me tenet Parthenope) e il poeta Stazio le dedicò versi pregevoli.
Spesso erano a Napolil’imperatore Claudio, Nerone,Tiberio e vari potenti si fecero costruire ville favolose come Lucullo, che scelse l’isolotto di Megaride, dove c’è ora il Castel dell’ovo e, dove nei suoi giardini introdusse la coltivazione della ciliegia, pianta che aveva importato dalla Cilicia (odierna Turchia), donde il nome di ciliegia.
Crocevia di popoli e culture a Napoli penetrò ben presto il Cristianesimo. Nei secoli seguenti il destino di Napoli si intreccio con quello di Roma ed il Cristianesimo si diffuse sempre più .
I Romani protessero l’amata e dotta Napoli con una potente cinta muraria, che però non la salvò dalle conseguenze delle invasioni barbariche e dalla caduta dell’impero romano d’occidente. Anzi proprio A Napoli ci fu la caduta dell’ultimo Imperatore d’occidente. il fanciullo Romolo Augusto nel 476 d.C.

 

 

Une promenade à travers les siècl

UNE PROMENADE À TRAVERS LES SIÈCLES DE NAPLES


Publié sous la direction du professeur Mariolina Landolfi Montella appelé Mariolina
Mariolina est l’amie que tout le monde aimerait avoir, cultivée, curieuse, une référence pour ses étudiants, elle est le professeur que j’aurais aimé et que j’ai trouvé quand j’étais adulte et que j’avais abandonné l’histoire il y a longtemps ; avec Mariolina j’ai appris à l’aimer, à la comprendre, à pénétrer ses mystères et à comprendre que seule la connaissance du passé permet à nos enfants d’avoir un meilleur avenir ou, comme dirait Mariolina, de connaître la route principale à prendre pour améliorer l’avenir. Je ne peux m’empêcher d’aimer Mariolina pour avoir réouvert mon esprit et mes sens, me faisant revivre la passion de la connaissance après qu’elle se soit assoupie ,après une bonne note a l’école lors que j’affirmais que la bataille de Lépante avait vu le succès d
e la flotte chrétienne grâce à l’intervention des galères vénitiennes qui avaient vaincu les Ottomans et leurs alliés soviétiques, coulant leurs sous-marins nucléaires : le professeur de l’époque tricotait un pull pendant mon  intervention

Naples : des origines mythiques à la chute de l’Empire romain d’Occident
Première partie
Il était déjà assez grave qu’Ulysse s’éloigne des côtes, à cause de l’hostilité de Poséidon, dieu de la mer.
Il a essayé de retourner dans sa patrie, sur son île, mais des obstacles de plus en plus insurmontables se dressaient sur son chemin. Même la mer calme et bleue pouvait cacher des pièges pour notre héros, comme l’île des Sirènes, (Capri) créatures fascinantes mi-femme et mi-poisson qui, avec leur chant, attiraient les marins vers une mort certaine.
Puis Ulysse, conscient du danger, insera avec de la cire les oreilles de ses compagnons qui sont aux rames, est s’attacha au mât de son navire pour ne pas obéir à l’appel doux et fatal. Ainsi, le héros prudent a pu résister à la mélodie invitante mais trompeuse et les Sirènes, humiliées et désespérées, sont mortes en se jetant à la mer.
L’une d’entre elles, Parthenope, portée par les vagues, a trouvé sa dernière demeure sur les rives d’une terre magnifique, embrassée par le soleil et baignée par une mer cristalline. Ici, où Parthénope s’est couchée, une ville a commencé à s’élever, qui, comme le chant des sirènes, a attiré et capturé les cœurs.
Naples a des origines grecques, un groupe d’habitants de l’île de Rhodes, a d’abord débarqué à Cuma, puis entre le IXe et le VIIIe siècle avant J.-C. sur l’îlot de Mégaride, où le Castel dell’ovo a ensuite été construit, et a ensuite établi le cœur de la ville où se trouve aujourd’hui le Pizzofalcone qui en était l’acropole. Vers 530, Partenope s’est décomposé et quelques décennies plus tard, les Cumani ont décidé de construire une nouvelle ville un peu plus à l’est : Neapolis, qui est la nouvelle ville à distinguer de Palepolis (vieille ville) de Pizzofalcone

Le lieu a été choisi en fonction de son aspect pratique pour le commerce, à proximité de la mer et avec des ports sûrs.
La ville était entourée de murs massifs et la structure urbaine suivait le modèle des villes grecques avec une acropole, où il y avait des temples et des bâtiments publics. Les rues qui se croisent, celles qui ont plus de six mètres de large, dans le sens longitudinal, étaient alors appelées par les Romains decumani et sont aujourd’hui les actuelles Via Tribunale, Via San Biagio dei Librai, Via Anticaglia. Il y avait celles plus étroites, de trois mètres, dans le sens transversal, appelées charnières par les Romains, comme celle de l’actuel S. Gregorio Armeno. La ville, entre le cinquième et le quatrième siècle. av. J.-C. entre en contact avec les Samnites, avec lesquels elle établit des relations de voisinage et d’affaires qui, avec le temps, se transforment en un échange ethnique et culturel actif. Vers la fin du IVe siècle, Rome a resserré avec Neapolis un pacte qui soumettait au contrôle de l’économie et du commerce de la ville, mais de celle-ci reconnaissait l’autonomie dans l’émission de monnaie et laissait au peuple ses traditions, sa langue, le grec, ses coutumes et ses cultes. Neapolis devient donc ville fédérée de Rome et reste fidèle à Rome dans les guerres contre Hannibale.


À l’époque impériale, Neapolis céde son port, au profit de Puteoli, mais il a toujours été préféré comme lieu de culture et de plaisir.
Naples était riche de temples, de bâtiments publics et privés d’une beauté remarquable et possédait d’énormes citernes qui assuraient l’eau à sa population nombreuse et cosmopolite. Parmi les poètes, c’est le favori de Virgile qui y fut enterré avec l’epitaphe “Mantua me genuit nunc me tenet Parthenope” et le poète Stazio lui dédia de précieux vers.
Les empereurs Claudius, Néron et Tibère étaient souvent à Naples, et divers personnages puissants y ont fait construire de fabuleuses villas, comme Lucullus, qui a choisi la petite île de Megaride, où se trouve aujourd’hui le Castel dell’Ovo, et où il a introduit dans ses jardins la culture du cerisier, une plante qu’il avait importée de Cilicie (Turquie actuelle), d’où le nom de cerise.
Carrefour de peuples et de cultures, le christianisme a rapidement pénétré à Naples. Au cours des siècles suivants, le destin de Naples s’est mêlé à celui de Rome et le christianisme s’est répandu de plus en plus.
Les Romains ont protégé leur ville bien-aimée et savante de Naples par de puissants murs, mais ceux-ci ne l’ont pas sauvée des conséquences des invasions barbares et de la chute de l’Empire romain d’Occident. En fait, à Naples, il y a eu la chute du dernier empereur d’Occident, le jeune Romulus Augustus en 476 après J.-C.

 

 

 

Autore: dauphin72000

Un po' poeta,un po' navigatore, un po' viaggiatore, molto legato alla mia terra e alla sua storia, con uno stato dell'animo che è perennemente presente....la napoletanità. 

Era già tanto che Ulisse errava per lidi lontani, a causa dell’ostilità di Poseidone, dio del mare. Tentava di ritornare in patria, nella sua isola, ma si frapponevano ostacoli sempre più insormontabili. Anche il mare calmo e azzurro poteva nascondere insidie per il nostro eroe, come l’isola delle Sirene,(Capri) affascinanti creature metà donne e metà pesce che, con il loro canto, attiravano i naviganti verso una morte certa. Allora Ulisse, consapevole del pericolo, tappate con la cera le orecchie dei compagni che erano ai remi, si fece legare all’albero della sua nave per non obbedire al dolce, fatale richiamo. Così il prudente eroe potette resistere all’invitante, ma ingannevole melodia e le Sirene, umiliate e disperate, morirono gettandosi in mare.Una di esse, Partenope, trasportata dalle onde, trovò la sua ultima dimora sulle rive di una terra bellissima, baciata dal sole e lambita da un mare cristallino. Qui,dove si era adagiata Partenope, cominciò a sorgere una città, che come il canto della sirena, attraeva e catturava i cuori.

Come si sa, dalla storia arriva il mito, e dal mito si risale alla storia,Napoli ha origini greche, un gruppo di abitanti dell’isola di Rodi, sbarcarono prima a Cuma, poi tra il IX e l’VIII sec.a.C. sull’isolotto di Megaride, dove fu poi costruito il Castel dell’ovo, e poi stabilirono il cuore della città dove è ora l’attuale Pizzofalcone che ne costituiva l’acropoli. Intorno al 530 Partenope decadde ed alcuni decenni dopo sempre i Cumani decisero di costruire una nuova città un pò più a est : Neapolis cioè città nuova per distinguerla dalla Palepolis (città vecchia ) di Pizzofalcone.

l luogo fu scelto in base alla praticità per il commercio, prossimo al mare e con approdi sicuri.
La città fu cinta da possenti mura e la struttura urbanistica seguì lo schema delle città greche con un’acropoli elabora,dove erano i templi e gli edifici pubblici. Le strade si intersecavano,Quelle più larghe di sei metri, ad andamento longitudinale, furono, poi dette dai Romani decumani e sono ora le attuali Via Tribunali,Via San Biagio dei librai, Via Anticaglia.Vi erano quelle più strette, di tre metri, in senso traversale, chiamate cardini dai Romani, come l’odierna S.Gregorio Armeno. La città, tra i V e il IV se. a.C: venne a contatto con i Sanniti, con i quali si stabilirono rapporti di vicinato e di affari che, col passare del tempo, si trasformarono in un attivo scambio etnico e culturale. Verso la fine del IV secolo, Roma strinse con Neapolis un patto che sottoponeva al controllo l’economia e il commercio della città, ma ne riconosceva l’autonomia nell’emettere moneta e lasciava al popolo le sue tradizioni, la sua lingua, la greca, i suoi costumi ed i suoi culti Neapolis divenne dunque città federata di Roma e rimase fedele a Roma nelle guerre contro Annibale.
Nel periodo imperiale decadde come porto, a vantaggio di Puteoli, ma venne sempre preferita come luogo di cultura e città gaudente.
D’altronde Napoli era ricca di Templi,,edifici pubblici e privati di cospicua bellezza e vantava enormi cisterne che assicuravano acqua alla sua numerosa e cosmopolita popolazione. Tra i Poeti fu la prediletta di Virgilio che vi fu sepolto (Mantua me genuit nunc me tenet Parthenope) e il poeta Stazio le dedicò versi pregevoli.
Spesso erano a Napolil’imperatore Claudio, Nerone,Tiberio e vari potenti si fecero costruire ville favolose come Lucullo, che scelse l’isolotto di Megaride, dove c’è ora il Castel dell’ovo e, dove nei suoi giardini introdusse la coltivazione della ciliegia, pianta che aveva importato dalla Cilicia (odierna Turchia), donde il nome di ciliegia.
Crocevia di popoli e culture a Napoli penetrò ben presto il Cristianesimo. Nei secoli seguenti il destino di Napoli si intreccio con quello di Roma ed il Cristianesimo si diffuse sempre più .
I Romani protessero l’amata e dotta Napoli con una potente cinta muraria, che però non la salvò dalle conseguenze delle invasioni barbariche e dalla caduta dell’impero romano d’occidente. Anzi proprio A Napoli ci fu la caduta dell’ultimo Imperatore d’occidente. il fanciullo Romolo Augusto nel 476 d.C.

 

 

Une promenade à travers les siècl

UNE PROMENADE À TRAVERS LES SIÈCLES DE NAPLES


Publié sous la direction du professeur Mariolina Landolfi Montella appelé Mariolina
Mariolina est l’amie que tout le monde aimerait avoir, cultivée, curieuse, une référence pour ses étudiants, elle est le professeur que j’aurais aimé et que j’ai trouvé quand j’étais adulte et que j’avais abandonné l’histoire il y a longtemps ; avec Mariolina j’ai appris à l’aimer, à la comprendre, à pénétrer ses mystères et à comprendre que seule la connaissance du passé permet à nos enfants d’avoir un meilleur avenir ou, comme dirait Mariolina, de connaître la route principale à prendre pour améliorer l’avenir. Je ne peux m’empêcher d’aimer Mariolina pour avoir réouvert mon esprit et mes sens, me faisant revivre la passion de la connaissance après qu’elle se soit assoupie ,après une bonne note a l’école lors que j’affirmais que la bataille de Lépante avait vu le succès d
e la flotte chrétienne grâce à l’intervention des galères vénitiennes qui avaient vaincu les Ottomans et leurs alliés soviétiques, coulant leurs sous-marins nucléaires : le professeur de l’époque tricotait un pull pendant mon  intervention

Naples : des origines mythiques à la chute de l’Empire romain d’Occident
Première partie
Il était déjà assez grave qu’Ulysse s’éloigne des côtes, à cause de l’hostilité de Poséidon, dieu de la mer.
Il a essayé de retourner dans sa patrie, sur son île, mais des obstacles de plus en plus insurmontables se dressaient sur son chemin. Même la mer calme et bleue pouvait cacher des pièges pour notre héros, comme l’île des Sirènes, (Capri) créatures fascinantes mi-femme et mi-poisson qui, avec leur chant, attiraient les marins vers une mort certaine.
Puis Ulysse, conscient du danger, insera avec de la cire les oreilles de ses compagnons qui sont aux rames, est s’attacha au mât de son navire pour ne pas obéir à l’appel doux et fatal. Ainsi, le héros prudent a pu résister à la mélodie invitante mais trompeuse et les Sirènes, humiliées et désespérées, sont mortes en se jetant à la mer.
L’une d’entre elles, Parthenope, portée par les vagues, a trouvé sa dernière demeure sur les rives d’une terre magnifique, embrassée par le soleil et baignée par une mer cristalline. Ici, où Parthénope s’est couchée, une ville a commencé à s’élever, qui, comme le chant des sirènes, a attiré et capturé les cœurs.
Naples a des origines grecques, un groupe d’habitants de l’île de Rhodes, a d’abord débarqué à Cuma, puis entre le IXe et le VIIIe siècle avant J.-C. sur l’îlot de Mégaride, où le Castel dell’ovo a ensuite été construit, et a ensuite établi le cœur de la ville où se trouve aujourd’hui le Pizzofalcone qui en était l’acropole. Vers 530, Partenope s’est décomposé et quelques décennies plus tard, les Cumani ont décidé de construire une nouvelle ville un peu plus à l’est : Neapolis, qui est la nouvelle ville à distinguer de Palepolis (vieille ville) de Pizzofalcone

Le lieu a été choisi en fonction de son aspect pratique pour le commerce, à proximité de la mer et avec des ports sûrs.
La ville était entourée de murs massifs et la structure urbaine suivait le modèle des villes grecques avec une acropole, où il y avait des temples et des bâtiments publics. Les rues qui se croisent, celles qui ont plus de six mètres de large, dans le sens longitudinal, étaient alors appelées par les Romains decumani et sont aujourd’hui les actuelles Via Tribunale, Via San Biagio dei Librai, Via Anticaglia. Il y avait celles plus étroites, de trois mètres, dans le sens transversal, appelées charnières par les Romains, comme celle de l’actuel S. Gregorio Armeno. La ville, entre le cinquième et le quatrième siècle. av. J.-C. entre en contact avec les Samnites, avec lesquels elle établit des relations de voisinage et d’affaires qui, avec le temps, se transforment en un échange ethnique et culturel actif. Vers la fin du IVe siècle, Rome a resserré avec Neapolis un pacte qui soumettait au contrôle de l’économie et du commerce de la ville, mais de celle-ci reconnaissait l’autonomie dans l’émission de monnaie et laissait au peuple ses traditions, sa langue, le grec, ses coutumes et ses cultes. Neapolis devient donc ville fédérée de Rome et reste fidèle à Rome dans les guerres contre Hannibale.


À l’époque impériale, Neapolis céde son port, au profit de Puteoli, mais il a toujours été préféré comme lieu de culture et de plaisir.
Naples était riche de temples, de bâtiments publics et privés d’une beauté remarquable et possédait d’énormes citernes qui assuraient l’eau à sa population nombreuse et cosmopolite. Parmi les poètes, c’est le favori de Virgile qui y fut enterré avec l’epitaphe “Mantua me genuit nunc me tenet Parthenope” et le poète Stazio lui dédia de précieux vers.
Les empereurs Claudius, Néron et Tibère étaient souvent à Naples, et divers personnages puissants y ont fait construire de fabuleuses villas, comme Lucullus, qui a choisi la petite île de Megaride, où se trouve aujourd’hui le Castel dell’Ovo, et où il a introduit dans ses jardins la culture du cerisier, une plante qu’il avait importée de Cilicie (Turquie actuelle), d’où le nom de cerise.
Carrefour de peuples et de cultures, le christianisme a rapidement pénétré à Naples. Au cours des siècles suivants, le destin de Naples s’est mêlé à celui de Rome et le christianisme s’est répandu de plus en plus.
Les Romains ont protégé leur ville bien-aimée et savante de Naples par de puissants murs, mais ceux-ci ne l’ont pas sauvée des conséquences des invasions barbares et de la chute de l’Empire romain d’Occident. En fait, à Naples, il y a eu la chute du dernier empereur d’Occident, le jeune Romulus Augustus en 476 après J.-C.

 

 

 

Autore: dauphin72000

Un po' poeta,un po' navigatore, un po' viaggiatore, molto legato alla mia terra e alla sua storia, con uno stato dell'animo che è perennemente presente....la napoletanità. 

Era già tanto che Ulisse errava per lidi lontani, a causa dell’ostilità di Poseidone, dio del mare. Tentava di ritornare in patria, nella sua isola, ma si frapponevano ostacoli sempre più insormontabili. Anche il mare calmo e azzurro poteva nascondere insidie per il nostro eroe, come l’isola delle Sirene,(Capri) affascinanti creature metà donne e metà pesce che, con il loro canto, attiravano i naviganti verso una morte certa. Allora Ulisse, consapevole del pericolo, tappate con la cera le orecchie dei compagni che erano ai remi, si fece legare all’albero della sua nave per non obbedire al dolce, fatale richiamo. Così il prudente eroe potette resistere all’invitante, ma ingannevole melodia e le Sirene, umiliate e disperate, morirono gettandosi in mare.Una di esse, Partenope, trasportata dalle onde, trovò la sua ultima dimora sulle rive di una terra bellissima, baciata dal sole e lambita da un mare cristallino. Qui,dove si era adagiata Partenope, cominciò a sorgere una città, che come il canto della sirena, attraeva e catturava i cuori.

Come si sa, dalla storia arriva il mito, e dal mito si risale alla storia,Napoli ha origini greche, un gruppo di abitanti dell’isola di Rodi, sbarcarono prima a Cuma, poi tra il IX e l’VIII sec.a.C. sull’isolotto di Megaride, dove fu poi costruito il Castel dell’ovo, e poi stabilirono il cuore della città dove è ora l’attuale Pizzofalcone che ne costituiva l’acropoli. Intorno al 530 Partenope decadde ed alcuni decenni dopo sempre i Cumani decisero di costruire una nuova città un pò più a est : Neapolis cioè città nuova per distinguerla dalla Palepolis (città vecchia ) di Pizzofalcone.

l luogo fu scelto in base alla praticità per il commercio, prossimo al mare e con approdi sicuri.
La città fu cinta da possenti mura e la struttura urbanistica seguì lo schema delle città greche con un’acropoli elabora,dove erano i templi e gli edifici pubblici. Le strade si intersecavano,Quelle più larghe di sei metri, ad andamento longitudinale, furono, poi dette dai Romani decumani e sono ora le attuali Via Tribunali,Via San Biagio dei librai, Via Anticaglia.Vi erano quelle più strette, di tre metri, in senso traversale, chiamate cardini dai Romani, come l’odierna S.Gregorio Armeno. La città, tra i V e il IV se. a.C: venne a contatto con i Sanniti, con i quali si stabilirono rapporti di vicinato e di affari che, col passare del tempo, si trasformarono in un attivo scambio etnico e culturale. Verso la fine del IV secolo, Roma strinse con Neapolis un patto che sottoponeva al controllo l’economia e il commercio della città, ma ne riconosceva l’autonomia nell’emettere moneta e lasciava al popolo le sue tradizioni, la sua lingua, la greca, i suoi costumi ed i suoi culti Neapolis divenne dunque città federata di Roma e rimase fedele a Roma nelle guerre contro Annibale.
Nel periodo imperiale decadde come porto, a vantaggio di Puteoli, ma venne sempre preferita come luogo di cultura e città gaudente.
D’altronde Napoli era ricca di Templi,,edifici pubblici e privati di cospicua bellezza e vantava enormi cisterne che assicuravano acqua alla sua numerosa e cosmopolita popolazione. Tra i Poeti fu la prediletta di Virgilio che vi fu sepolto (Mantua me genuit nunc me tenet Parthenope) e il poeta Stazio le dedicò versi pregevoli.
Spesso erano a Napolil’imperatore Claudio, Nerone,Tiberio e vari potenti si fecero costruire ville favolose come Lucullo, che scelse l’isolotto di Megaride, dove c’è ora il Castel dell’ovo e, dove nei suoi giardini introdusse la coltivazione della ciliegia, pianta che aveva importato dalla Cilicia (odierna Turchia), donde il nome di ciliegia.
Crocevia di popoli e culture a Napoli penetrò ben presto il Cristianesimo. Nei secoli seguenti il destino di Napoli si intreccio con quello di Roma ed il Cristianesimo si diffuse sempre più .
I Romani protessero l’amata e dotta Napoli con una potente cinta muraria, che però non la salvò dalle conseguenze delle invasioni barbariche e dalla caduta dell’impero romano d’occidente. Anzi proprio A Napoli ci fu la caduta dell’ultimo Imperatore d’occidente. il fanciullo Romolo Augusto nel 476 d.C.

 

 

Une promenade à travers les siècl

UNE PROMENADE À TRAVERS LES SIÈCLES DE NAPLES


Publié sous la direction du professeur Mariolina Landolfi Montella appelé Mariolina
Mariolina est l’amie que tout le monde aimerait avoir, cultivée, curieuse, une référence pour ses étudiants, elle est le professeur que j’aurais aimé et que j’ai trouvé quand j’étais adulte et que j’avais abandonné l’histoire il y a longtemps ; avec Mariolina j’ai appris à l’aimer, à la comprendre, à pénétrer ses mystères et à comprendre que seule la connaissance du passé permet à nos enfants d’avoir un meilleur avenir ou, comme dirait Mariolina, de connaître la route principale à prendre pour améliorer l’avenir. Je ne peux m’empêcher d’aimer Mariolina pour avoir réouvert mon esprit et mes sens, me faisant revivre la passion de la connaissance après qu’elle se soit assoupie ,après une bonne note a l’école lors que j’affirmais que la bataille de Lépante avait vu le succès d
e la flotte chrétienne grâce à l’intervention des galères vénitiennes qui avaient vaincu les Ottomans et leurs alliés soviétiques, coulant leurs sous-marins nucléaires : le professeur de l’époque tricotait un pull pendant mon  intervention

Naples : des origines mythiques à la chute de l’Empire romain d’Occident
Première partie
Il était déjà assez grave qu’Ulysse s’éloigne des côtes, à cause de l’hostilité de Poséidon, dieu de la mer.
Il a essayé de retourner dans sa patrie, sur son île, mais des obstacles de plus en plus insurmontables se dressaient sur son chemin. Même la mer calme et bleue pouvait cacher des pièges pour notre héros, comme l’île des Sirènes, (Capri) créatures fascinantes mi-femme et mi-poisson qui, avec leur chant, attiraient les marins vers une mort certaine.
Puis Ulysse, conscient du danger, insera avec de la cire les oreilles de ses compagnons qui sont aux rames, est s’attacha au mât de son navire pour ne pas obéir à l’appel doux et fatal. Ainsi, le héros prudent a pu résister à la mélodie invitante mais trompeuse et les Sirènes, humiliées et désespérées, sont mortes en se jetant à la mer.
L’une d’entre elles, Parthenope, portée par les vagues, a trouvé sa dernière demeure sur les rives d’une terre magnifique, embrassée par le soleil et baignée par une mer cristalline. Ici, où Parthénope s’est couchée, une ville a commencé à s’élever, qui, comme le chant des sirènes, a attiré et capturé les cœurs.
Naples a des origines grecques, un groupe d’habitants de l’île de Rhodes, a d’abord débarqué à Cuma, puis entre le IXe et le VIIIe siècle avant J.-C. sur l’îlot de Mégaride, où le Castel dell’ovo a ensuite été construit, et a ensuite établi le cœur de la ville où se trouve aujourd’hui le Pizzofalcone qui en était l’acropole. Vers 530, Partenope s’est décomposé et quelques décennies plus tard, les Cumani ont décidé de construire une nouvelle ville un peu plus à l’est : Neapolis, qui est la nouvelle ville à distinguer de Palepolis (vieille ville) de Pizzofalcone

Le lieu a été choisi en fonction de son aspect pratique pour le commerce, à proximité de la mer et avec des ports sûrs.
La ville était entourée de murs massifs et la structure urbaine suivait le modèle des villes grecques avec une acropole, où il y avait des temples et des bâtiments publics. Les rues qui se croisent, celles qui ont plus de six mètres de large, dans le sens longitudinal, étaient alors appelées par les Romains decumani et sont aujourd’hui les actuelles Via Tribunale, Via San Biagio dei Librai, Via Anticaglia. Il y avait celles plus étroites, de trois mètres, dans le sens transversal, appelées charnières par les Romains, comme celle de l’actuel S. Gregorio Armeno. La ville, entre le cinquième et le quatrième siècle. av. J.-C. entre en contact avec les Samnites, avec lesquels elle établit des relations de voisinage et d’affaires qui, avec le temps, se transforment en un échange ethnique et culturel actif. Vers la fin du IVe siècle, Rome a resserré avec Neapolis un pacte qui soumettait au contrôle de l’économie et du commerce de la ville, mais de celle-ci reconnaissait l’autonomie dans l’émission de monnaie et laissait au peuple ses traditions, sa langue, le grec, ses coutumes et ses cultes. Neapolis devient donc ville fédérée de Rome et reste fidèle à Rome dans les guerres contre Hannibale.


À l’époque impériale, Neapolis céde son port, au profit de Puteoli, mais il a toujours été préféré comme lieu de culture et de plaisir.
Naples était riche de temples, de bâtiments publics et privés d’une beauté remarquable et possédait d’énormes citernes qui assuraient l’eau à sa population nombreuse et cosmopolite. Parmi les poètes, c’est le favori de Virgile qui y fut enterré avec l’epitaphe “Mantua me genuit nunc me tenet Parthenope” et le poète Stazio lui dédia de précieux vers.
Les empereurs Claudius, Néron et Tibère étaient souvent à Naples, et divers personnages puissants y ont fait construire de fabuleuses villas, comme Lucullus, qui a choisi la petite île de Megaride, où se trouve aujourd’hui le Castel dell’Ovo, et où il a introduit dans ses jardins la culture du cerisier, une plante qu’il avait importée de Cilicie (Turquie actuelle), d’où le nom de cerise.
Carrefour de peuples et de cultures, le christianisme a rapidement pénétré à Naples. Au cours des siècles suivants, le destin de Naples s’est mêlé à celui de Rome et le christianisme s’est répandu de plus en plus.
Les Romains ont protégé leur ville bien-aimée et savante de Naples par de puissants murs, mais ceux-ci ne l’ont pas sauvée des conséquences des invasions barbares et de la chute de l’Empire romain d’Occident. En fait, à Naples, il y a eu la chute du dernier empereur d’Occident, le jeune Romulus Augustus en 476 après J.-C.

 

 

 

Autore: dauphin72000

Un po' poeta,un po' navigatore, un po' viaggiatore, molto legato alla mia terra e alla sua storia, con uno stato dell'animo che è perennemente presente....la napoletanità. 

Era già tanto che Ulisse errava per lidi lontani, a causa dell’ostilità di Poseidone, dio del mare. Tentava di ritornare in patria, nella sua isola, ma si frapponevano ostacoli sempre più insormontabili. Anche il mare calmo e azzurro poteva nascondere insidie per il nostro eroe, come l’isola delle Sirene,(Capri) affascinanti creature metà donne e metà pesce che, con il loro canto, attiravano i naviganti verso una morte certa. Allora Ulisse, consapevole del pericolo, tappate con la cera le orecchie dei compagni che erano ai remi, si fece legare all’albero della sua nave per non obbedire al dolce, fatale richiamo. Così il prudente eroe potette resistere all’invitante, ma ingannevole melodia e le Sirene, umiliate e disperate, morirono gettandosi in mare.Una di esse, Partenope, trasportata dalle onde, trovò la sua ultima dimora sulle rive di una terra bellissima, baciata dal sole e lambita da un mare cristallino. Qui,dove si era adagiata Partenope, cominciò a sorgere una città, che come il canto della sirena, attraeva e catturava i cuori.

Come si sa, dalla storia arriva il mito, e dal mito si risale alla storia,Napoli ha origini greche, un gruppo di abitanti dell’isola di Rodi, sbarcarono prima a Cuma, poi tra il IX e l’VIII sec.a.C. sull’isolotto di Megaride, dove fu poi costruito il Castel dell’ovo, e poi stabilirono il cuore della città dove è ora l’attuale Pizzofalcone che ne costituiva l’acropoli. Intorno al 530 Partenope decadde ed alcuni decenni dopo sempre i Cumani decisero di costruire una nuova città un pò più a est : Neapolis cioè città nuova per distinguerla dalla Palepolis (città vecchia ) di Pizzofalcone.

l luogo fu scelto in base alla praticità per il commercio, prossimo al mare e con approdi sicuri.
La città fu cinta da possenti mura e la struttura urbanistica seguì lo schema delle città greche con un’acropoli elabora,dove erano i templi e gli edifici pubblici. Le strade si intersecavano,Quelle più larghe di sei metri, ad andamento longitudinale, furono, poi dette dai Romani decumani e sono ora le attuali Via Tribunali,Via San Biagio dei librai, Via Anticaglia.Vi erano quelle più strette, di tre metri, in senso traversale, chiamate cardini dai Romani, come l’odierna S.Gregorio Armeno. La città, tra i V e il IV se. a.C: venne a contatto con i Sanniti, con i quali si stabilirono rapporti di vicinato e di affari che, col passare del tempo, si trasformarono in un attivo scambio etnico e culturale. Verso la fine del IV secolo, Roma strinse con Neapolis un patto che sottoponeva al controllo l’economia e il commercio della città, ma ne riconosceva l’autonomia nell’emettere moneta e lasciava al popolo le sue tradizioni, la sua lingua, la greca, i suoi costumi ed i suoi culti Neapolis divenne dunque città federata di Roma e rimase fedele a Roma nelle guerre contro Annibale.
Nel periodo imperiale decadde come porto, a vantaggio di Puteoli, ma venne sempre preferita come luogo di cultura e città gaudente.
D’altronde Napoli era ricca di Templi,,edifici pubblici e privati di cospicua bellezza e vantava enormi cisterne che assicuravano acqua alla sua numerosa e cosmopolita popolazione. Tra i Poeti fu la prediletta di Virgilio che vi fu sepolto (Mantua me genuit nunc me tenet Parthenope) e il poeta Stazio le dedicò versi pregevoli.
Spesso erano a Napolil’imperatore Claudio, Nerone,Tiberio e vari potenti si fecero costruire ville favolose come Lucullo, che scelse l’isolotto di Megaride, dove c’è ora il Castel dell’ovo e, dove nei suoi giardini introdusse la coltivazione della ciliegia, pianta che aveva importato dalla Cilicia (odierna Turchia), donde il nome di ciliegia.
Crocevia di popoli e culture a Napoli penetrò ben presto il Cristianesimo. Nei secoli seguenti il destino di Napoli si intreccio con quello di Roma ed il Cristianesimo si diffuse sempre più .
I Romani protessero l’amata e dotta Napoli con una potente cinta muraria, che però non la salvò dalle conseguenze delle invasioni barbariche e dalla caduta dell’impero romano d’occidente. Anzi proprio A Napoli ci fu la caduta dell’ultimo Imperatore d’occidente. il fanciullo Romolo Augusto nel 476 d.C.

 

 

Une promenade à travers les siècl

UNE PROMENADE À TRAVERS LES SIÈCLES DE NAPLES


Publié sous la direction du professeur Mariolina Landolfi Montella appelé Mariolina
Mariolina est l’amie que tout le monde aimerait avoir, cultivée, curieuse, une référence pour ses étudiants, elle est le professeur que j’aurais aimé et que j’ai trouvé quand j’étais adulte et que j’avais abandonné l’histoire il y a longtemps ; avec Mariolina j’ai appris à l’aimer, à la comprendre, à pénétrer ses mystères et à comprendre que seule la connaissance du passé permet à nos enfants d’avoir un meilleur avenir ou, comme dirait Mariolina, de connaître la route principale à prendre pour améliorer l’avenir. Je ne peux m’empêcher d’aimer Mariolina pour avoir réouvert mon esprit et mes sens, me faisant revivre la passion de la connaissance après qu’elle se soit assoupie ,après une bonne note a l’école lors que j’affirmais que la bataille de Lépante avait vu le succès d
e la flotte chrétienne grâce à l’intervention des galères vénitiennes qui avaient vaincu les Ottomans et leurs alliés soviétiques, coulant leurs sous-marins nucléaires : le professeur de l’époque tricotait un pull pendant mon  intervention

Naples : des origines mythiques à la chute de l’Empire romain d’Occident
Première partie
Il était déjà assez grave qu’Ulysse s’éloigne des côtes, à cause de l’hostilité de Poséidon, dieu de la mer.
Il a essayé de retourner dans sa patrie, sur son île, mais des obstacles de plus en plus insurmontables se dressaient sur son chemin. Même la mer calme et bleue pouvait cacher des pièges pour notre héros, comme l’île des Sirènes, (Capri) créatures fascinantes mi-femme et mi-poisson qui, avec leur chant, attiraient les marins vers une mort certaine.
Puis Ulysse, conscient du danger, insera avec de la cire les oreilles de ses compagnons qui sont aux rames, est s’attacha au mât de son navire pour ne pas obéir à l’appel doux et fatal. Ainsi, le héros prudent a pu résister à la mélodie invitante mais trompeuse et les Sirènes, humiliées et désespérées, sont mortes en se jetant à la mer.
L’une d’entre elles, Parthenope, portée par les vagues, a trouvé sa dernière demeure sur les rives d’une terre magnifique, embrassée par le soleil et baignée par une mer cristalline. Ici, où Parthénope s’est couchée, une ville a commencé à s’élever, qui, comme le chant des sirènes, a attiré et capturé les cœurs.
Naples a des origines grecques, un groupe d’habitants de l’île de Rhodes, a d’abord débarqué à Cuma, puis entre le IXe et le VIIIe siècle avant J.-C. sur l’îlot de Mégaride, où le Castel dell’ovo a ensuite été construit, et a ensuite établi le cœur de la ville où se trouve aujourd’hui le Pizzofalcone qui en était l’acropole. Vers 530, Partenope s’est décomposé et quelques décennies plus tard, les Cumani ont décidé de construire une nouvelle ville un peu plus à l’est : Neapolis, qui est la nouvelle ville à distinguer de Palepolis (vieille ville) de Pizzofalcone

Le lieu a été choisi en fonction de son aspect pratique pour le commerce, à proximité de la mer et avec des ports sûrs.
La ville était entourée de murs massifs et la structure urbaine suivait le modèle des villes grecques avec une acropole, où il y avait des temples et des bâtiments publics. Les rues qui se croisent, celles qui ont plus de six mètres de large, dans le sens longitudinal, étaient alors appelées par les Romains decumani et sont aujourd’hui les actuelles Via Tribunale, Via San Biagio dei Librai, Via Anticaglia. Il y avait celles plus étroites, de trois mètres, dans le sens transversal, appelées charnières par les Romains, comme celle de l’actuel S. Gregorio Armeno. La ville, entre le cinquième et le quatrième siècle. av. J.-C. entre en contact avec les Samnites, avec lesquels elle établit des relations de voisinage et d’affaires qui, avec le temps, se transforment en un échange ethnique et culturel actif. Vers la fin du IVe siècle, Rome a resserré avec Neapolis un pacte qui soumettait au contrôle de l’économie et du commerce de la ville, mais de celle-ci reconnaissait l’autonomie dans l’émission de monnaie et laissait au peuple ses traditions, sa langue, le grec, ses coutumes et ses cultes. Neapolis devient donc ville fédérée de Rome et reste fidèle à Rome dans les guerres contre Hannibale.


À l’époque impériale, Neapolis céde son port, au profit de Puteoli, mais il a toujours été préféré comme lieu de culture et de plaisir.
Naples était riche de temples, de bâtiments publics et privés d’une beauté remarquable et possédait d’énormes citernes qui assuraient l’eau à sa population nombreuse et cosmopolite. Parmi les poètes, c’est le favori de Virgile qui y fut enterré avec l’epitaphe “Mantua me genuit nunc me tenet Parthenope” et le poète Stazio lui dédia de précieux vers.
Les empereurs Claudius, Néron et Tibère étaient souvent à Naples, et divers personnages puissants y ont fait construire de fabuleuses villas, comme Lucullus, qui a choisi la petite île de Megaride, où se trouve aujourd’hui le Castel dell’Ovo, et où il a introduit dans ses jardins la culture du cerisier, une plante qu’il avait importée de Cilicie (Turquie actuelle), d’où le nom de cerise.
Carrefour de peuples et de cultures, le christianisme a rapidement pénétré à Naples. Au cours des siècles suivants, le destin de Naples s’est mêlé à celui de Rome et le christianisme s’est répandu de plus en plus.
Les Romains ont protégé leur ville bien-aimée et savante de Naples par de puissants murs, mais ceux-ci ne l’ont pas sauvée des conséquences des invasions barbares et de la chute de l’Empire romain d’Occident. En fait, à Naples, il y a eu la chute du dernier empereur d’Occident, le jeune Romulus Augustus en 476 après J.-C.

 

 

 

Autore: dauphin72000

Un po' poeta,un po' navigatore, un po' viaggiatore, molto legato alla mia terra e alla sua storia, con uno stato dell'animo che è perennemente presente....la napoletanità. 

Era già tanto che Ulisse errava per lidi lontani, a causa dell’ostilità di Poseidone, dio del mare. Tentava di ritornare in patria, nella sua isola, ma si frapponevano ostacoli sempre più insormontabili. Anche il mare calmo e azzurro poteva nascondere insidie per il nostro eroe, come l’isola delle Sirene,(Capri) affascinanti creature metà donne e metà pesce che, con il loro canto, attiravano i naviganti verso una morte certa. Allora Ulisse, consapevole del pericolo, tappate con la cera le orecchie dei compagni che erano ai remi, si fece legare all’albero della sua nave per non obbedire al dolce, fatale richiamo. Così il prudente eroe potette resistere all’invitante, ma ingannevole melodia e le Sirene, umiliate e disperate, morirono gettandosi in mare.Una di esse, Partenope, trasportata dalle onde, trovò la sua ultima dimora sulle rive di una terra bellissima, baciata dal sole e lambita da un mare cristallino. Qui,dove si era adagiata Partenope, cominciò a sorgere una città, che come il canto della sirena, attraeva e catturava i cuori.

Come si sa, dalla storia arriva il mito, e dal mito si risale alla storia,Napoli ha origini greche, un gruppo di abitanti dell’isola di Rodi, sbarcarono prima a Cuma, poi tra il IX e l’VIII sec.a.C. sull’isolotto di Megaride, dove fu poi costruito il Castel dell’ovo, e poi stabilirono il cuore della città dove è ora l’attuale Pizzofalcone che ne costituiva l’acropoli. Intorno al 530 Partenope decadde ed alcuni decenni dopo sempre i Cumani decisero di costruire una nuova città un pò più a est : Neapolis cioè città nuova per distinguerla dalla Palepolis (città vecchia ) di Pizzofalcone.

l luogo fu scelto in base alla praticità per il commercio, prossimo al mare e con approdi sicuri.
La città fu cinta da possenti mura e la struttura urbanistica seguì lo schema delle città greche con un’acropoli elabora,dove erano i templi e gli edifici pubblici. Le strade si intersecavano,Quelle più larghe di sei metri, ad andamento longitudinale, furono, poi dette dai Romani decumani e sono ora le attuali Via Tribunali,Via San Biagio dei librai, Via Anticaglia.Vi erano quelle più strette, di tre metri, in senso traversale, chiamate cardini dai Romani, come l’odierna S.Gregorio Armeno. La città, tra i V e il IV se. a.C: venne a contatto con i Sanniti, con i quali si stabilirono rapporti di vicinato e di affari che, col passare del tempo, si trasformarono in un attivo scambio etnico e culturale. Verso la fine del IV secolo, Roma strinse con Neapolis un patto che sottoponeva al controllo l’economia e il commercio della città, ma ne riconosceva l’autonomia nell’emettere moneta e lasciava al popolo le sue tradizioni, la sua lingua, la greca, i suoi costumi ed i suoi culti Neapolis divenne dunque città federata di Roma e rimase fedele a Roma nelle guerre contro Annibale.
Nel periodo imperiale decadde come porto, a vantaggio di Puteoli, ma venne sempre preferita come luogo di cultura e città gaudente.
D’altronde Napoli era ricca di Templi,,edifici pubblici e privati di cospicua bellezza e vantava enormi cisterne che assicuravano acqua alla sua numerosa e cosmopolita popolazione. Tra i Poeti fu la prediletta di Virgilio che vi fu sepolto (Mantua me genuit nunc me tenet Parthenope) e il poeta Stazio le dedicò versi pregevoli.
Spesso erano a Napolil’imperatore Claudio, Nerone,Tiberio e vari potenti si fecero costruire ville favolose come Lucullo, che scelse l’isolotto di Megaride, dove c’è ora il Castel dell’ovo e, dove nei suoi giardini introdusse la coltivazione della ciliegia, pianta che aveva importato dalla Cilicia (odierna Turchia), donde il nome di ciliegia.
Crocevia di popoli e culture a Napoli penetrò ben presto il Cristianesimo. Nei secoli seguenti il destino di Napoli si intreccio con quello di Roma ed il Cristianesimo si diffuse sempre più .
I Romani protessero l’amata e dotta Napoli con una potente cinta muraria, che però non la salvò dalle conseguenze delle invasioni barbariche e dalla caduta dell’impero romano d’occidente. Anzi proprio A Napoli ci fu la caduta dell’ultimo Imperatore d’occidente. il fanciullo Romolo Augusto nel 476 d.C.

 

 

Une promenade à travers les siècl

UNE PROMENADE À TRAVERS LES SIÈCLES DE NAPLES


Publié sous la direction du professeur Mariolina Landolfi Montella appelé Mariolina
Mariolina est l’amie que tout le monde aimerait avoir, cultivée, curieuse, une référence pour ses étudiants, elle est le professeur que j’aurais aimé et que j’ai trouvé quand j’étais adulte et que j’avais abandonné l’histoire il y a longtemps ; avec Mariolina j’ai appris à l’aimer, à la comprendre, à pénétrer ses mystères et à comprendre que seule la connaissance du passé permet à nos enfants d’avoir un meilleur avenir ou, comme dirait Mariolina, de connaître la route principale à prendre pour améliorer l’avenir. Je ne peux m’empêcher d’aimer Mariolina pour avoir réouvert mon esprit et mes sens, me faisant revivre la passion de la connaissance après qu’elle se soit assoupie ,après une bonne note a l’école lors que j’affirmais que la bataille de Lépante avait vu le succès d
e la flotte chrétienne grâce à l’intervention des galères vénitiennes qui avaient vaincu les Ottomans et leurs alliés soviétiques, coulant leurs sous-marins nucléaires : le professeur de l’époque tricotait un pull pendant mon  intervention

Naples : des origines mythiques à la chute de l’Empire romain d’Occident
Première partie
Il était déjà assez grave qu’Ulysse s’éloigne des côtes, à cause de l’hostilité de Poséidon, dieu de la mer.
Il a essayé de retourner dans sa patrie, sur son île, mais des obstacles de plus en plus insurmontables se dressaient sur son chemin. Même la mer calme et bleue pouvait cacher des pièges pour notre héros, comme l’île des Sirènes, (Capri) créatures fascinantes mi-femme et mi-poisson qui, avec leur chant, attiraient les marins vers une mort certaine.
Puis Ulysse, conscient du danger, insera avec de la cire les oreilles de ses compagnons qui sont aux rames, est s’attacha au mât de son navire pour ne pas obéir à l’appel doux et fatal. Ainsi, le héros prudent a pu résister à la mélodie invitante mais trompeuse et les Sirènes, humiliées et désespérées, sont mortes en se jetant à la mer.
L’une d’entre elles, Parthenope, portée par les vagues, a trouvé sa dernière demeure sur les rives d’une terre magnifique, embrassée par le soleil et baignée par une mer cristalline. Ici, où Parthénope s’est couchée, une ville a commencé à s’élever, qui, comme le chant des sirènes, a attiré et capturé les cœurs.
Naples a des origines grecques, un groupe d’habitants de l’île de Rhodes, a d’abord débarqué à Cuma, puis entre le IXe et le VIIIe siècle avant J.-C. sur l’îlot de Mégaride, où le Castel dell’ovo a ensuite été construit, et a ensuite établi le cœur de la ville où se trouve aujourd’hui le Pizzofalcone qui en était l’acropole. Vers 530, Partenope s’est décomposé et quelques décennies plus tard, les Cumani ont décidé de construire une nouvelle ville un peu plus à l’est : Neapolis, qui est la nouvelle ville à distinguer de Palepolis (vieille ville) de Pizzofalcone

Le lieu a été choisi en fonction de son aspect pratique pour le commerce, à proximité de la mer et avec des ports sûrs.
La ville était entourée de murs massifs et la structure urbaine suivait le modèle des villes grecques avec une acropole, où il y avait des temples et des bâtiments publics. Les rues qui se croisent, celles qui ont plus de six mètres de large, dans le sens longitudinal, étaient alors appelées par les Romains decumani et sont aujourd’hui les actuelles Via Tribunale, Via San Biagio dei Librai, Via Anticaglia. Il y avait celles plus étroites, de trois mètres, dans le sens transversal, appelées charnières par les Romains, comme celle de l’actuel S. Gregorio Armeno. La ville, entre le cinquième et le quatrième siècle. av. J.-C. entre en contact avec les Samnites, avec lesquels elle établit des relations de voisinage et d’affaires qui, avec le temps, se transforment en un échange ethnique et culturel actif. Vers la fin du IVe siècle, Rome a resserré avec Neapolis un pacte qui soumettait au contrôle de l’économie et du commerce de la ville, mais de celle-ci reconnaissait l’autonomie dans l’émission de monnaie et laissait au peuple ses traditions, sa langue, le grec, ses coutumes et ses cultes. Neapolis devient donc ville fédérée de Rome et reste fidèle à Rome dans les guerres contre Hannibale.


À l’époque impériale, Neapolis céde son port, au profit de Puteoli, mais il a toujours été préféré comme lieu de culture et de plaisir.
Naples était riche de temples, de bâtiments publics et privés d’une beauté remarquable et possédait d’énormes citernes qui assuraient l’eau à sa population nombreuse et cosmopolite. Parmi les poètes, c’est le favori de Virgile qui y fut enterré avec l’epitaphe “Mantua me genuit nunc me tenet Parthenope” et le poète Stazio lui dédia de précieux vers.
Les empereurs Claudius, Néron et Tibère étaient souvent à Naples, et divers personnages puissants y ont fait construire de fabuleuses villas, comme Lucullus, qui a choisi la petite île de Megaride, où se trouve aujourd’hui le Castel dell’Ovo, et où il a introduit dans ses jardins la culture du cerisier, une plante qu’il avait importée de Cilicie (Turquie actuelle), d’où le nom de cerise.
Carrefour de peuples et de cultures, le christianisme a rapidement pénétré à Naples. Au cours des siècles suivants, le destin de Naples s’est mêlé à celui de Rome et le christianisme s’est répandu de plus en plus.
Les Romains ont protégé leur ville bien-aimée et savante de Naples par de puissants murs, mais ceux-ci ne l’ont pas sauvée des conséquences des invasions barbares et de la chute de l’Empire romain d’Occident. En fait, à Naples, il y a eu la chute du dernier empereur d’Occident, le jeune Romulus Augustus en 476 après J.-C.

 

 

 

Autore: dauphin72000

Un po' poeta,un po' navigatore, un po' viaggiatore, molto legato alla mia terra e alla sua storia, con uno stato dell'animo che è perennemente presente....la napoletanità. 


padova

Padova, una città la cui origine si perde nella notte dei tempi. La leggenda narra infatti che un esule di Troia, Antenore, risalì le coste dell’Adriatico e dopo essersi addentrato nella foce del Brenta, trovò un luogo fertile e protetto dove fondò la città.  Ma Padova ha lasciato un segno del suo passaggio in tutte le epoche, dai romani a Sant'Antonio, passando per Giotto e Galileo Galilei : arte, religione e scienza. Se ne ritrova traccia nei suoi meravigliosi monumenti dalla Basilica di Sant’Antonio alla cappella degli Scrovegni. E poi tutto intorno ville, giardini storici e terme. Insomma, una storia e una bellezza millenaria che aspetta solo di essere raccontata.

Regardez sur RAI Play l'émission qui est consacrée à la ville de Padoue : Clicca QUI 



les lacs italiens

Lacs de Lugano, d'Iseo, de Garde, de Côme, Majeur ...  offrez vous une escapade sur les rives des lacs italiens ! sur ARTE !



via dei presepi - napoli

A Naples les santons aussi portent des masques ...

Reportage d'Alban Mikoczy, Laura Tositti, Cécile Orsoni et Anne Donadini.

C’est une rue incontournable à Naples : la via San Gregorio Armeno où se succèdent une trentaine d'échoppes d’artisans santonniers. D'ordinaire, les touristes affluent,  et les santons se vendent comme des petits pains. Mais en 2020, le silence est assourdissant. Les rideaux sont baissés, les artisans inquiets. Chez Genny di Virgilio, les santons eux aussi portent des masques. Même les rois mages sortent avec leurs attestations ! Une manière de relativiser la situation pourtant critique. 



Sicilia - palermo - la Fontana della vergogna

Au centre de la place Pretoria, à Palerme, se dresse la fontaine circulaire du même nom avec ses statues , ses balustrades et ses escaliers que François Camilliani, architecte du XVIe siècle, avait aménagés au départ pour la villa toscane  d'un noble espagnol Don Pedro di Toledo.  Elle fut finalement installée en 1573 sur la place palermitaine par son fils.

Son surnom de fontaine de la Honte (fontana della Vergogna) vient du fait que certains habitants de Palerme furent choqués par la nudité des statues. 

photos Lucie

i pupi del museo pitré

Le théâtre de marionnettes sicilien "Opera dei pupi", inscrit depuis 2008 au  Patrimoine de l'UNESCO est une tradition culturelle sicilienne remontant au XIXème siècle


dolceacqua

A deux pas de Vintimille et de la frontière, dans la province d'Imperia, Dolceacqua est un charmant bourg médiéval de la vallée de la Nervia. 



carnaval de Satriano di lucania (Potenza)


Carnevale di Satriano (22 e 23 febbraio)

La foresta che cammina : dove gli alberi diventano uomini e gli uomini diventano alberi (consultez le site internet de l'évènement )

 

Foto e video  youtube sito Carnevale di Satriano

 



maltempo a venezia - l'acqua alta di dicembre 2019


Trois jours à Venise avec l'acqua alta jusqu'à 150 cm, c'est : écouter le signal d'alarme diffusé par la Ville de Venise, chausser ses "copriscarpe" jaunes fluos "a pochi schei" comme disent les vénitiens et partir malgré tout à la découverte d'une ville sublissime par tous temps !


                                                            … et la pluie cesse, l'eau se retire … Venise, Burano, Murano

“Aquagranda”, così si dice in veneziano. E tutti ricordano, in questi giorni di alta marea eccezionale a Venezia, trattenendo il fiato, quel 4 Novembre di 50 anni fa, quando la città, forse la più amata al mondo, corse il rischio di essere spazzata via dalla forza del mare che la allagò in ogni sua parte. Un’acqua così alta non si ricordava a memoria d’uomo. Se a molti della mia generazione chiedi una data che gli sia rimasta nella memoria, nessuno farà fatica a dirti di quel 4 Novembre del 1966 quando « el mar s’ha tocà co la laguna (« il mare si unì alla laguna »). Ben 194 furono i centimetri che oltrepassarono il livello medio del mare in entrata, un’altezza mai raggiunta da quando si cominciò a rilevare le frequenze e che causò danni al patrimonio urbano quantificabili in diversi miliardi delle allora lire…...….leggere l'articolo sul sito ALTRITALIANI

 

Aquagranda a Venezia: Cronaca di quel 4 Novembre 1966.

Dominique a venezia !


le ville venete : villa godi e villa pisani


La Villa Pisani à Stra a été construite à partir de 1721 sur le projet de l'architecte Gerolamo Frigimelica pour la noble famille vénitienne des Pisani di Santo Stefano.

C'est un bel exemple de villa vénitienne en rive du fleuve Brenta, c'est un musée qui abrite des oeuvres du XVIIIème et XIXème siècles

La Villa Godi Malinverni se situe à Lugo di Vicenzo, c'est la première villa d'Andrea Palladio (1508-1580), architecte de la Renaissance Italienne auteur du Traité " I quattro libri dell'archittetura" qui eut une profonde influence sur l'architecture occidentale ; à noter que La maison Blanche aux USA a été réalisée dans le style palladien 


la villa pisani (foto di Yolande)

la villa godi malinverni (foto di lucie)


Besoin de soleil ? … le beau voyage de jean Noel


amalfi

capri

ischia


matera 2019 capitale europeenne de la culture


Le choix de Matera comme capitale européenne de la culture en 2019 est l’occasion de découvrir ou redécouvrir la ville troglodyte inscrite au patrimoine mondial de l’humanité depuis 1993



toscana


lucca - toscana


Lisez l'article de la revue RADICI, Lucca una città a più piani …


pisa



pietrasanta - toscana


Pietrasanta est un véritable musée à ciel ouvert dédié à la sculpture contemporaine. Le marbre de la Versilia et la maîtrise des artisans locaux dans le travail de la pierre et du bronze, y ont en effet attiré des artistes de renom, dont le colombien Fernando Botero. 

 



le cave di marmo a colonnata



bologna - firenze - roma … il bel viaggio di Yves



Le Lac Carezza dans les Dolomites

 

Dans le Haut Adige, à quelques 25 kilomètres de Bolzano, se trouve le lago Carezza, aux eaux turquoises.

Ce lac, également appelé Lac Arc- en -Ciel, abrite dans ses profondeurs la belle nymphe Ondina pourchassée par le sorcier Masaré ...

Durant les mois d'hiver, quand le niveau de l'eau descend vous pourrez apercevoir la nymphe au centre du lac … ou sa statue en bronze installée pour rappeler cette belle légende !

 

 



Le cinqueterre


Situés au bord du Golfe de Gênes, les cinq villages médiévaux qui composent la région des « cinq terres » offrent de pittoresques

paysages d’habitations colorées prêtes à se jeter des falaises escarpées.

Monterosso, Vernazza, Corniglia, Manarola et Riomaggiore forment ces « cinq terres » classées au patrimoine mondial de l’UNESCO. Chaque village est relié aux autres par des sentiers pédestres et par le train.

Depuis mille ans, les hommes ont façonné les falaises avec des murs de pierre pour retenir la terre. Ils y cultivent la vigne, les oliviers, les agrumes. Les paysages sont un rêve pour les photographes !





La puglia


Envie de soleil ! Andiamo in Puglia !

Un article gourmand de Altritaliani.net (clic), un autre en italien 





Balade en Sardaigne - Cartoline dalla Sardegna




barumini complesso nuragico

Nel cuore della Sardegna memorie di una civiltà antichissima riaffiorano in un luogo incantato, il complesso nuragico di Barumini.

Quello di Barumini rappresenta il complesso nuragico più significativo del centro della Sardegna. Un luogo inserito dall’Unesco nel 1997 nella sua lista dei patrimoni dell’umanità



un colpo d'occhio a roma e ai castelli romani ?




Connaissez vous La Garbatella, cité-jardin des années 1920 ?

“Ce qui me plait le plus, c’est de voir les quartiers. Et le quartier de Rome qui me plait le plus, c’est la Garbatella“. Ainsi commence Caro Diario (Journal intime, 1993), film de Nanni Moretti, déclaration d’amour à Rome, et au quartier de Garbatella.




ostia antica




villa d'este



survol de verone



venezia, burano, torcello ...... in evidenza



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